frivole

J'étais superbe dans ma robe noir, trop moulante et trop décolletée. Je me sentais tellement attirante que je me sentais une menace pour moi. Ma poitrine ressortait et mes mamelons s’avançaient, provoquants, bien pointés. Lorsque je marchais on décelait toute les forme de mon corps les plus secrète. On pouvait même voir ma culotte de dentelle qui entrait légèrement entre mes grandes lèvres et qui avec la pression, les faisaient gonfler. Je savais qu'en me  voyant on avait envie de toucher, de me caresser. Mon collier brillait rehaussant ma silhouetter en mettant en valeur mon cou long et affilé.

En marchant j'aimais bien ajuster ma robe et passer mes mains sur mes fesses en sachant que cela excitait Alex. Afin de l’émoustiller, avant d’entrer dans le restaurant, je fis tomber mon petit sac de soirée et en me penchant doucement devant lui en écartant mes jambes et en arquant le dos arqué pour que mes fesses soient mises en évidence et que ma robe en remontant dévoile le haut de mes cuisses. Alex accepta volontier ce petit jeu et comme il n’y avait personne autour, il en profita pour me passer la main entre les cuisses en exerçant une légère pression sur mon sexe, ce qui me fit soupirer.

Comme je  gardais cette position provocante, il posa deux doigts sur mes grandes lèvres en les caressant par des petites pressions circulaires puis il tira ma culotte pour dévoiler mon sexe au grand jour. Alex aurait eu envie de me prendre dans cette position tant il était excité. Il se contenta de me donner une petite tape sur les fesses. Je ne pu faire autrement que de sursauter. Je me releva difficilement, puisque j'avait gardé suffisamment longtemps cette position pour avoir les genoux raides, ajusta ma culotte et redressa ma robe pour être convenable. Il me dit à l'oreille « Hé, il ne faut pas profiter de toutes les situations » Je lui répondis « Ce n’est pas dans mes intentions, mais j’avais envie de prendre la température » Il m’embrassa.  Dans le resto il y avait une douzaine de clients, principalement des couples. On nous trouva  une jolie table  près du jardin auprès d'une petite cascade qui donnait un cachet particulier à l’endroit. De l’autre côté, on pouvait apercevoir des plantations et des bananiers qui poussaient tout le long de la petite route champêtre. Une musique d’ambiance, imprégnée de rythme jazzys agrémentait les conversations.

La lune était pleine et ses rayons faisaient valser les ombres des feuillages au gré de la brise. Il y avait un parfum de jasmin ramené sans doute par les jeunes vendeuses de fleurs qui fréquentaient les restos et les bars. J' étais particulièrement belle ce soir là. Je m'étais baignée toute la journée et je me sentais pleine de chaleur humide et saline. Les rayons de la lune reflétait sur le visage d'Alex et faisait perler les minuscules gouttelettes qui coulaient sur son front. Les trois serveurs s’affairaient entre les tables et la cuisine. Leur pantalon fleuris et leur chemise blanche donnait un air particulier à ce resto un peu rétro. Je dis à Alex que j'aimais l’endroit et que je me sentais bien avec lui. J'étais heureuse avec lui et lui était tout aussi heureux de partager ces moments avec moi. Il se concentrait sur ma bouche en me parlant sans doute à cause de mon rouge a lèvre qui était à la fois discret et sensuel. Alex me répétait souvent qu’il n’aimait pas le rouge à lèvres, mais encore une fois j'avais su choisir les tons ce qu’il fallait. Il aimait regarder ma bouche, généreuse et appétissante. Il me dit qu'il s’excitait parfois en s’imaginant entrer avec force son pénis bandé dans ma bouche en me prenant les cheveux.  Curieusement les hommes ont parfois ces pensées sexuelles de possession violente, c’est sans doute une façon d’affirmer leur virilité. Comme je m’éternisais sur le menu légèrement penchée sur la table, il continua de me regarder. Cette fois, je sentis que  ces yeux se fixaient sur la courbe de mes seins. Je sais qu'il avait envie de les prendre à pleine main, les masser, les lécher… Comme il aimait le répéter lorsque nous étions en public et qu'il me sentait pensive. Je me vois engloutissant tes mamelons pour les saisir entre ses lèvres, les mordiller et les sucer.

Je me redressa naturellement mais vivement et lui dit » Je crois que je vais prendre.....» Le garçon qui servit les verres raconta une histoire étrange sur un fait cocasse qui venait de se passer dans la cuisine. Après un toast chaleureux et sensuel Alex m'envoya un petit baisé qui me fit sourire. La soirée cheminait vers la nuit.. Alex venait de commander une deuxième bouteille de Bourgogne Aligoté et il avait précisé que la bouteille soit fraiche. Je ressentais les premiers effets de cette deuxième bouteilles. J'avais retiré mes talons hauts et posé délicatement mon pied sur le sexe d' Alex que  je tentais plutôt adroitement de masturber. Au début, il fut surpris par ce pied entre ses cuisses puis mes efforts insistants lui provoqua une érection. Je le sentis excité et je lui fis un petit sourire coquin qui en disait long. J' exerçais une pression supplémentaire pour presser davantage son pénis et faire gonfler son gland. J'aimais ce pouvoir sur lui, j'aimais serrer son pénis dans mes mais et voir gonfler ce gland jusqu'à la démesure. De cette façon, j'avais la sensation d’avoir un certain contrôle sur le plaisir et la jouissance de mon homme. Alex prit mon pied et remonta lentement sa main en massant mon mollet puis ma cuisse. Son bras s’étirait comme s’il voulait se rendre jusqu'à mon sexe, mais il se contrôla puisque nous n'étions pas seul et le geste devenait compromettant. Je sentais son excitation grimpé et lui appréciait ce petit jeu. Je retira délicatement son pied et remis mes souliers. Alex du se lever pour replacer discrètement son sexe qui s’était mal positionné puis s'approcha pour me chuchoter à l’oreille : « Je veux que tu retires ta culotte et que tu me la donne, j’ai envie de la sentir ! » J'étais amusé par cette proposition et je m’exécuta sur le champ . Je me pencha astucieusement et d’un geste dissimulé pour ne pas être vue, je glissai mes mains sous ma robe, saisie ma culotte que je fis glisser lentement le long de mes jambes. Je  soulevai mes pieds, la retira et lui remis. Alex pris la pris et le porta à son nez pour le respirer abondamment. Ceci m’excita follement.  Je m’approcha et lui dit  « Mais tu es fou, comment vas tu me demander de faire ça au resto » Alex me regarda sans broncher et me dit : « Maintenant écartes les jambes. Je vais simuler d’échapper ma serviette de table pour la récupérer sous la table et en me penchant je veux voir ta chatte » Je me sentis très complésante par ce nouveau jeu et j' écarta les cuisses plus qu’il ne fallait. D’un geste bien calculé Alex jeta la serviette sous la table et comme personne ne regardait, il se dit qu’il fallait en profiter pour prendre son temps et bien mater mon sexe. En se penchant son visage effleura volontairement mon genou puis ma cuisse. Il agrippa sa serviette en prenant le temps de bien regarder mon entre cuisse. Il pouvait contempler. En se relevant, il profita de la situation pour introduire adroitement sa main entre mes cuisses chaudes et humides et effleura mon clitoris. Il se relava et se rassit. Je lui dit à la blague : « Tu n’as pas envie d’échapper à nouveau ta serviette ?» La deuxième bouteille se but rapidement et les discussions se succédèrent. Je me rendis au WC et remis ma culotte. Alex me dit au retour qu'il regardait les clients qui s’apprêtaient à quitter et qu'une était particulièrement belle.

L’addition fut vite réglée. En sortant je regardais une fois de plus la lune qui brillait. La nuit était magnifique qu’asi féerique. Vers  l’hôtel on croisait des petits ranchs qui longeaient la route. En fait, ces dernières n’étaient que des haltes pour chevaux, très achalandées le jour mais désertes la nuit. Alex m'entraîna  dans l’une d'elles prétextant la curiosité. La petite grange était couverte de paille et de matériel d’équitation, des selles , des harnais, des brosses... En rentrant, j' eu un peu peur de cet endroit mais après coup les rayons de la pleine lune en faisait un cadre plutôt hospitalier.

Alex décida de poursuivre les jeux auxquels ils s’étaient consacrés depuis le début de la soirée, et me dit sèchement de m’agenouiller. Je le regardais fixement comprenant que son air dominateur cachait un nouveau jeu. Je me mis à ses pieds et pour en ajouter, lui dit : « Maître que veux tu de moi, je suis ton esclave. Fais ce que tu veux de moi. » Alex était surpris et amusé, mais il n’en attendait pas moins. Il me dit : « Relèves ta robe, je veux te voir à moitié nu» J'obéis, je  relevai ma robe jusqu’à la taille. Dans cette tenue, je m'offrais à lui. Mes cuisses entre ouverte laissait découvrir ma culotte blanche.  Je me pencha solennellement et lui embrassa les pieds. Il lui ordonna de me coucher sur le dos. Je le fis et lui dit « Maître prend moi, je suis à toi. Que veux tu mon maître. Tu veux que je te fasse palisir » Alex n’hésita pas et sortie son sexe déjà très tendu et il m'ordonna  de me masturber en même temps que lui. Ce petit jeu prenait cette fois une autre allure et notre excitation devenait difficile à contenir. Je glissai doucement mes mains dans ma culotte après m’être effleurée les mamelons. Alex aimait me regarder me masturber, mais cette fois il apprécia particulièrement regarder les vas et viens de mes main sous ma culotte, spécialement lorsque je courbais le poignet pour me plonger un doigt dans ma fente. Ma culotte commençant à s’imbiber , ce qui ne manqua pas d’exciter Alex qui sentit son érection augmenter. Je fixais sa queue obstinément. J' entrouvrais ma bouche et sortait ma langue comme pour l’inviter à le lècher. Alex m’aida à me lever et me fit asseoir sur une selle en cuir noir qui était suspendue sur un petit banc en bois. Amusée, je l’enjamba en simulant de faire de l’équitation. Alex me prit par les épaules puis par la taille pour activer mon mouvement. Je sautais et les secousses faisaient remonter ma robe. Rapidement mes fesses se trouvèrent en contact direct avec le cuir froid et humide de la selle. Alex m’entraîna plus vers l’avant, en direction du pommeau pour que ma chatte s’appuie sur ce dernier. Je sentais le frottement de mon clitoris et aussitôt mes grandes lèvres s'écartèrent et ma fente s’ouvrit mouillant le cuir. J'étais très excitée et j'essayais maintenant de surmonter le pommeau pour l’introduire dans son sexe. J' y arriva naturellement ce qui lui donna l’impression que je me  faisais baiser par une bit gigantesque. Je gémissais de plaisir en me frottant le clitoris puis les mamelons. L’énormité du pommeau qui remplissait mon vagin mouillé par l’excitation faisait avec les vas et viens un clapotis immoral. Alex très excité avait sorti sa queue  et se masturbait devant moi. Il approcha sa bouche des mes seins et il les embrassa abondamment, puis les suça, avant de mâchonner mes mamelons. Le pommeau de la selle avait complètement disparu dans ma fente, je bondissais de plus en plus haut pour me libérer puis s’enfoncer à nouveau le pommeau dans le vagin.

Ce n'est pas fini, on est renté à 4:00 H, Pour la suite je vous reviendrai. 

Maria